Dans les séances passé on a parlé du culte comme étant une double ouverture aussi bien verticale l’horizontale c’est également un rendez-vous tripartite mais aussi une constante anthropologique et un temps d’actualisation  toujours en préambule nous avons le témoignage des premiers chrétiens et comment le Christ était vécu

   -La liturgie officielle de l’EEAM, en 2018

    Le canevas liturgique voté au synode de 2018 est articulé autour de 13 parties.

 C’est de la tradition réformée que l’Église Évangélique au Maroc tient sa source qui était auparavant l’Église Réformée de France au Maroc et cette tradition a évolué dans le temps et la responsabilité qu’a la synode et la commission exécutive a toujours été de pouvoir concilier héritage et nouveauté. 

    Et perdre l’un par rapport à l’autre ce serait dommage

   Ainsi l’on se demande qu’est-ce qui est le plus important. Est-ce dire la liturgie et vivre le culte ou vivre la liturgie et dire le culte?

    Dans les séances passées on a expliqué que le culte était d’abord un temps de rencontre tripartite entre la communauté et Dieu mais aussi la communauté et la société le culte n’est pas que l’Église sinon nous devenus comme des sectes nous ne vivons contre nous alors que la vocation du culte n’est pas d’être dans l’entre soit mais plutôt d’être ouvert à l’extérieur le défi de l’Église et de faire en sorte que le Royaume des cieux ne soit pas simplement une réalité extraterrestre mais qu’elle soit plutôt une réalité qui se vit ici et maintenant intra terrestre et l’Église à la vocation par le culte de faire en sorte que cette réalité se vit ici et maintenant c’est pourquoi on dit que le culte est un temps d’espérance et de célébration du salut